La rectification d'erreurs matérielles ne nécessite pas une nouvelle enquête publique Abonnés
Par ailleurs, certaines erreurs vénielles ne nécessitent pas de reprendre la procédure même simplifiée ; par exemple, la circonstance que le règlement du POS approuvé par le conseil municipal le 29 décembre 2000 porte la date du 9 janvier 2001 constitue une erreur matérielle sans influence sur la régularité de la délibération approuvant le POS (CE 8 janvier 2010, n° 303869). Dernier exemple, les erreurs purement matérielles concernant une cote de mesure du niveau des crues et la date de la construction d'un remblai SNCF sont dépourvues d'incidence sur la régularité d’une étude d’impact. Celle-ci décrit précisément l'hydrogéologie et l'hydrographie de la zone, ainsi que l'impact du projet sur l'eau et le milieu aquatique (CE 15 juin 2007, n° 289204).
Michel Degoffe le 02 décembre 2010 - n°181 de Urbanisme Pratique
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